C’était il y a longtemps, au siècle dernier.
Un temps où, dans les maisonnées, on parlait de la
bonne et où on mangeait des congolais.
Non, pas les hommes, les gâteaux à la noix de de
coco.
C’est pas bien, le Cran veille, mais les religieuses,
c’est encore possible de les manger.
Bref, un temps où le Notre-Père nous faisait prier
Dieu de ne pas nous laisser succomber à la tentation.
Puis, pour une sombre histoire de traduction, il a
fallu lui demander de ne pas nous y soumettre, le sadique.
Et maintenant, il va falloir lui demander de ne pas
nous laisser entrer en tentation, comme dans un sex-shop.
Mois, quand j’ouvre le placard de la cuisine et que
je vois les gouters de ma fille, je me dis qu’il ne faut pas succomber.
Je ne prie pas, j’écoute qui est susceptible de venir,
c’est plus efficace, je crois.
Mais je ne prie pas pour ne pas entrer dans le
placard.
Bref, ce pauvre Jésus, au fil des siècles, on lui a fait un peut tout dire.
J’en succombe !
Vengeance!
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