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lundi 24 août 2015

Guerre et bons sentiments.

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L’homme ne change pas ; il reste un loup.
Il y a, bien sûr, le sage le philosophe, mais il y a aussi le pervers, le désaxé, le perdu et, au milieu, la masse informe qui le plus souvent hurle avec le loup plutôt qu’elle ne philosophe.
Le pervers, le désaxé, le perdu sont  utiles car ils  sont recrutés dans les armées noires où  on  les droguera un peu pour qu’ils aillent massacrer.
Vous savez, les SS.
Il en est de même, aujourd’hui, avec le nazislamisme qui recrute les mêmes qu’autrefois.
C’est difficile, je suppose, pour ceux qui dirigent, qui façonnent l’opinion, dans une certaine sécurité intellectuelle et financière, de se rendre compte d’un monde qui change et c’est plus facile de continuer à penser selon une construction intellectuelle datant de 30 ou 40 ans quand le monde était moins peuplé et  que l’Europe comptait plus d’habitants que l’Afrique.
C’est fini.
Ce monde-là a donc changé et de nouvelles forces perverses se dressent, décapitent, détruisent comme autrefois les SS.
L’autodafé est toujours d’actualité.
On ne peut pas les combattre avec de bons sentiments mais avec détermination.
Il faudra bien un jour que nos dirigeants assument l’idée qu’avoir fait tomber des dictateurs a contribué à renverser des digues et qu’il vaudrait mieux aujourd’hui s’interroger vraiment sur le fait de savoir s’il ne vaut  mieux pas composer avec le leader syrien comme, après tout, pendant la seconde guerre mondiale, l’Europe occidentale composa avec le communisme.
Le goulag, oui ; mais Stalingrad.
On ne choisit pas forcément ses alliés quand on combat un ennemi.
Et puis cet ennemi qui se dresse le fait au nom de l’islam.
Enfant dévoyé de l’islam ! Combattants d’ailleurs ignares de la chose religieuse qui cherchent  plus à combattre vicieusement des  frustrations subies, de toutes sortes, sexuelles même qu’à comprendre la spiritualité interdisant  le meurtre
Mais enfin ce ne sont pas aujourd’hui les catholiques qui massacrent ; ils le firent dans les siècles passés.
Un secrétaire d’État du gouvernement français a eu un mot malheureux indiquant qu’il valait mieux discriminer que rester  spectateurs en parlant de fouilles aléatoires.
Mais si l’on prend le patronyme des responsables des attentats commis sur le sol français, il y a une réalité factuelle quant aux origines.
Après peut se poser un débat, comme en matière de criminalité de droit commun.
On va, vous savez, parler de criminalité plus important dans certaines communautés là où d’autres diront que cela n’a rien à voir mais que la pauvreté est cause.
Ce sont en général les mêmes populations.
En l’espèce, ce qui compte, ce ne sont pas les causes, mais le fait.
Quand il y a une guerre, et d’une certaine manière le mot peut être prononcé, il faut veiller tout à la fois au respect de la démocratie, bien sûr, mais accepter la réalité telle qu’elle est et, sur celle-ci, mettre le mot adéquat.
On ne fait pas la guerre avec de bons sentiments, c’est un luxe que peuvent se permettre aujourd’hui uniquement ceux qui sont protégés dans les palais de la république ou de la presse.
Pas le peuple de France

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