Mais deux grands du secteur de l'abattage se refusent à acheter car ce prix est très supérieur à l'offre étrangère et les fragilise dans le jeu, si l'on peut dire, de la concurrence.
Ou alors, il faudrait des mesures correctrices ...
Ça vous sent non pas le cochon, mais le contribuable ...
Celui que l'on égorge aussi.
Le fameux modèle français!
On va reparler de la taille insuffisante des exploitations françaises qui doivent grossir à la germanique pour investir, respecter les normes métastasées et, finalement être soumises au jeu capitalistique pendant que nos campagnes deviendront friches.
Ce modèle économique, celui de la finance primant, presque, le cœur du métier est-il fondé?
Ne devrait-on pas, aussi, s'interroger sur la méthodologie permettant la viabilité des petites exploitations ?
Et remettre en interrogation le modèle normatif français, avant d'être européen, qui contribue au chômage de masse et à une certaine dissolution, de ce fait du lien social?
Et pas seulement en agriculture, mais partout .
Ou sont-ce là rêveries d'un avocat solitaire en vacances? (Méritées comme il se doit!)
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