L’important, me direz-vous, ce sont le panda qui vient
de naître et Neimar, le footballeur ; mais enfin tant pis.
L’homme est le prédateur de la planète ; il
détruit Gaïa la nourricière.
Ce n’est pas élucubration, mais considération
objective : il consomme de la terre plus qu’elle ne produit et la détruit jour après jour.
C’est la science, probablement, qui empêchera le
drame final, si faire ce peut : la destruction de l’homme. Ce curieux
parasite, seul dans l’univers.
Et pour ce faire, il faudra les capacités nouvelles
de l’intelligence artificielle, IA.
On sait la puissance des algorithmes.
Il parait même que Facebook a débranché une IA qui avait
inventé sons langage, hors contrôle humain…
Car, en fait, pour que l’IA trouve ses solutions, il
ne faut pas qu’elle soit bridée par la limite de l’intelligence humaine,
moindre.
Il faut que les algorithmes créent d’autres
algorithmes.
Que l’IA pense par elle-même.
Et toute la difficulté est là, simple.
Supposons qu’elle estime que pour sauver la terre,
il faut détruire l’homme ?
Que le robot serait plus respectueux de l’avenir,
moins suicidaire.
Alors, elle détruirait l’homme et l’intelligence
survivrait.
Le pire de cette histoire est qu’elle n’est pas
absurde.
Si l’univers est conscience, qui a dit que cette
conscience devait être humaine ?
Bon, on en revient au panda ? A Neimar ?
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