Le spectateur du monde
alentour, fût-il engagé, a ce sentiment lourd d’une balkanisation, d’une
fragmentation des choses.
Comme s’il y avait
une impossibilité à avoir une vision englobant les autres et le long terme.
Madame Merkel, citée
pendant longtemps en exemple, qui pour des raisons concernant son pays accueille
un nombre impressionnant de migrants, ce qui est moralement admirable, mais
génère à défaut d’acceptation du peuple des troubles, une remontée de l’extrême
droite, et le cloisonnement européen.
Monsieur Cameron qui
lance pour des raisons tacticiennes internes un référendum qu’il pensait gagner
sans problème mais qui fractionne encore et encore sa société.
Ici, il en va de même
avec des pensées politiciennes prenant en compte l’élection à venir et ne
tenant aucun compte de l’avenir et de l’intérêt général, voire de la morale.
Balkany réinvesti
pour les prochaines législatives, c’est comme si Cahuzac l’était par le parti
socialiste.
Cela montre des
gouvernants actuels ou futurs dont la pensée parcellaire guidée par l’immédiateté
paraît fragmentée, balkanisée, en un horrible kaléidoscope.
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