Un certain a écrit un
jour que l’homme était naturellement bon et que c’était la société qui le
corrompait ; mais avait-il vraiment raison ?
Les siècles nous
montrent, de l’humain, et le meilleur et le pire; Janus à deux faces, dont l’une
de bête immonde.
L’histoire
contemporaine contient ces massacres de masse et puis l’horreur du nazisme, si
proche encore.
On se rappelle les
livres brûlés, les autodafés ; et puis aussi les chambres à gaz.
Certes, il y a eu les
chefs, les concepteurs ; mais aussi tous ces pervers anonymes qui ont trouvé là
de quoi satisfaire leur jouissance vicieuse.
Le nazisme a été
détruit.
Voici que se lève le nazislamisme
qui, aussi, brûle les livres, massacre viole et aujourd’hui, semble-t-il, vient
de brûler vif un pilote jordanien prisonnier.
Qu’importe que le
nazisme ne se soit pas développé au nom de Dieu, Dieu n’y est pas pour
grand-chose, dont le mal absolu d’ailleurs est peut-être l’expression de son inexistence.
Que ce soit au nom de
Dieu, du néant, ou du prophète, l’infamie et l’horreur sont les mêmes qu’il
faut combattre.
Le Mal est de retour
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