Cela peut paraitre
étrange de les associer, mais, à la réflexion, Bayrou et Mélenchon sont frères
siamois.
Même génération, même
appétence pour les mots.
L’un licencié en philosophie,
l’autre agrégé de lettres.
Tous les deux ayant une
conviction forte de leur importance personnelle, très forte, trop forte au
regard de l’histoire politique.
L’un, au ministère de
la justice, se pense intouchable.
L’autre ne veut pas de
la présidence d’un futur groupe à l’assemblée nationale, s’estimant appelé à
des tâches plus importantes…
En fait, ils
appartiennent déjà au passé ; aucun n’aura jamais le premier rôle dont il rêve.
Restent les mots, et
les éclats de voix.
Encore un peu…
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