Je suis parti en vacances avec l’idée de lire l’arrière-pays d’Yves Bonnefoy, voulant paraître au goût du jour.
Pour être honnête, il
fallait pour comprendre ce livre une connaissance de la peinture italienne qui
n’était pas la mienne et je me suis trouvé tout à fait penaud.
L’idée pourtant d’un
art absolu qui serait plus dans quelques beaux villages de Toscane que dans la
fureur des villes.
Cette idée d’arrière-pays
m’habite, en fait.
On imagine l’arrière-pays fait de quiétude, de senteurs, de douceur et de profondeur ; de calme
surtout.
Et l’on voudrait
finalement parvenir, parfois, à construire en soi cet arrière-pays, cet
endroit reposant, de sagesse, de paix.
Comme une envie
arrière-pays...
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