Agnès SAAL a donc
démissionné de la présidence de l’INA pour des dépenses folles de taxi, alors qu’elle
disposait d’une voiture avec chauffeur; dépenses particulièrement importantes
représentant plusieurs dizaines de milliers d’euros au bénéfice, également, de
sa famille.
Elle a remboursé tout
ou partie, dit-on, et a démissionné.
Pour intégrer le ministère de la culture dans un poste dont on susurre qu’il a été créé pour elle !
Gentille haute
fonction publique!
Imaginons maintenant
un dirigeant salarié privé confondant la caisse de l’entreprise avec la sienne
propre.
Ce comportement
délictueux pourrait lui valoir une plainte pénale.
Il démissionnerait,
ou serait licencié et irait au chômage.
Il ne resterait pas
salarié.
C’est dans des cas
comme ça que l’on voit la grande différence existant entre le privé et le
public, du moins à un certain niveau et c’est pour cela qu’il existe ce malaise
français si troublant.
Ce sentiment d’être
dirigé par une noblesse d’État qui ne rend de compte à personne et n’est jamais
punie ou tout au moins certainement pas avec la même sévérité qu’aurait à
affronter le citoyen moyen.
Comment le ministre
de la culture, Madame Fleur Pellerin a-t-elle pu accepter cela ?
Mais je n’ose la
critiquer, car sinon on dirait que…
Au fait, Sylvie
Andrieux siège toujours à l’Assemblée.
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