Il est difficile d’affirmer
que, des décennies après, l’État islamique est une conséquence dramatique des accords
Sykes-Picot.
Mais force est de
reconnaître que l’Occident bombarde avec conviction les pays musulmans au nom
du bien et que voilà donc qu’un ennemi s’est créé, dont la nature est aussi
perverse que celle du nazisme : le nazislamisme sunnite.
Ainsi donc, le pays
est entré dans une forme de guerre.
À la tête du
ministère de la défense, se trouve donc Monsieur Le Drian dont on dit le plus
grand bien, qui serait un roc selon ses amis.
Et voilà que
celui-ci, au service des armes de la France, fait le choix d’aller se présenter
aux élections régionales pour, dit-on, sauver la gauche.
Mais il est évident
que l’on ne peut à la fois être ministre de la guerre et président de la
Bretagne, les journées n’ont que 24 heures et la gravité de la situation ne
permet plus ces complaisances folles avec la réalité du devoir accomplir.
Alors, on se dit qu’il
est quand même étrange que dans une situation aussi difficile, un ministre de
cette importance fasse le choix de s’en aller en plein combat, de quitter le
champ de bataille.
Et qu’il s’agit là, oui,
d’une forme de désertion.
ah mais non pour éviter la désertion et le cumul des mandats, il nous dit que c'est le Président qui décidera s'il est élu s'il doit quitter son poste de ministre !
RépondreSupprimerquand j'entends cela, je me dis que Monsieur Le Drian n'est à sa place à aucun des deux postes et qu'il devrait démissionner et laisser sa place aux deux postes pour cause de retraite par ex....