Il
y a eu d’abord l’Avocat, Joseph
Scipilliti tirant sur son Bâtonnier, puis se suicidant.
Son
parcours montrait la fragilité psychologique, le poids de la dépression.
Et
voilà le docteur Bonnemaison, au parcours également fragile, dépressif, tout
juste condamné, mais avec une peine légère qui tente de se suicider.
Bien
sûr, et d’abord, les victimes.
Il n'est nul besoin de le rappeler.
Il n'est nul besoin de le rappeler.
Mais
on ne peut s’empêcher d’unir en esprit les deux hommes et d’en éprouver
compassion.
Simplement.
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