Deux jeunes filles
sont mortes à Marseille, poignardées ou égorgées par un terroriste islamiste.
Peut-être
sortait-t-il, à Lyon, de garde à vue après avoir été interpellé pour un petit
vol et être sans papier, mais ce serait lié à une carence der la préfecture dit-on.
Ce qui montre aussi
que la question n’est pas tant celle de la multiplication des lois qui altèrent
les libertés des Français que du discernement et de la volonté dans l’application de celles qui
existent.
Il y a quelques
semaines, déjà, une femme était morte à Marseille dans un arrêt de bus.
Et qu’on le veuille
ou non, l’islamisme était sous-jacent derrière la folie, réelle.
La religion n’est pas
l’ennemi de la République ce qui est l’ennemi de la République c’est le
fondamentalisme qui n’en reconnaît pas les valeurs d’égalité et de liberté et
de fraternité.
Ce qui est parfois l’ennemi
de la République, c’est elle-même, dans sa timidité à affirmer ce qu’elle, ce
qu’elle a construit sur un territoire avec une langue imposée par François Ier
et une volonté de vivre ensemble dans le respect d’une tradition culturelle et
politique.
La tête voilée ou
couverte des femmes est aussi signe de soumission et quand la religion se
transforme et s’endurcit, il faut y prêter attention.
L’islam qui triomphe
aujourd’hui est l’islam du wahhabisme et du salafisme qui ne sont pas
compatibles avec les valeurs républicaines.
Et quand cette
idéologie mortifère rencontre des êtres frustres et sans culture, voire
déséquilibrés ou encore pervers, elle est dangereuse.
Et à ce niveau-là, la République est complice par ses complaisances avec des pays à l’inverse de
sa nature.
Ou, sur notre
territoire, par une forme de lâcheté qui a pris le nom de tolérance, de vivre-ensemble, de communautés, de multiculturalisme sans trop de discernement.
C’est de tout cela
que deux jeunes filles sont mortes à Marseille.
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