Les juristes sont gens subtils et leur prose est ciselée comme or fin.
Parfois l’avocat vous dira une clause d’un contrat
ou d’un règlement de copropriété qui vous est opposé qu’elle est et nulle ou
bien qu’elle est non écrite.
Ce n’est pas pareil.
Quelque chose de nul existe et le droit prévoit un
délai pour le contester à peine de prescription.
Après, c’est trop tard.
Quelque chose de non écrit n’existe pas et il n’y
a pas de délai pour le contester, c’est imprescriptible.
Cela présente son intérêt dans la vie de la
copropriété car une clause non écrite peut exploser à tout moment comme un
livre de Madame Valérie Trierweiler.
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