Les notaires, c'est normal, sont partis en guerre pour défendre, disent-ils, la sécurité juridique des français et ils veulent emmener les salariés avec eux.
Mais, sur twitter, une guerre entre notaires se fait jour , entre les libéraux possédant la charges et dont les revenus n'ont rien à voir avec ceux des sans-dents et les notaires diplomés, mais salariés.
La convention collective du notariat prévoit dans sa classification un coefficient correspondant au salarié diplomé notaire qui participe à la statégie de l'étude, reçoit la clientèle, a autorité sur le personnel, exerce les activités de même niveau que celles du notaire.
Un notaire, quoi!
Mais qui ne peut pas s'installer.
Ceux-là ne paraissent pas soutenir le CSN, (non plus que d'autres salariés, se trouvant fort mal payés).
Le statut de notaire assistant doit être frustrant, finalement : tout faire, souvent, le patron étant au golf (exagération sudiste), mais n'avoir pas le droit de diriger sa propre entreprise.
Est-ce encore défendable ?
Comme le droit de présentation , mais c'est une autre histoire que dira le Conseil constitutionnel.
Sale temps pour les notaires.
Mais, sur twitter, une guerre entre notaires se fait jour , entre les libéraux possédant la charges et dont les revenus n'ont rien à voir avec ceux des sans-dents et les notaires diplomés, mais salariés.
La convention collective du notariat prévoit dans sa classification un coefficient correspondant au salarié diplomé notaire qui participe à la statégie de l'étude, reçoit la clientèle, a autorité sur le personnel, exerce les activités de même niveau que celles du notaire.
Un notaire, quoi!
Mais qui ne peut pas s'installer.
Ceux-là ne paraissent pas soutenir le CSN, (non plus que d'autres salariés, se trouvant fort mal payés).
Le statut de notaire assistant doit être frustrant, finalement : tout faire, souvent, le patron étant au golf (exagération sudiste), mais n'avoir pas le droit de diriger sa propre entreprise.
Est-ce encore défendable ?
Comme le droit de présentation , mais c'est une autre histoire que dira le Conseil constitutionnel.
Sale temps pour les notaires.
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