Cela
 fait longtemps que la jurisprudence n’estime plus que l’adultère est, 
en soi, une cause de divorce ; tout est question de circonstances de 
l’espèce.
Et voilà que dans un arrêt du 17 décembre 2015 
 la Cour de cassation estime que l’évolution des mœurs comme celle des 
considérations morales ne permettent plus de considérer que l’imputation
 d’une infidélité conjugale serait à une seule de nature à porter 
atteinte à l’honneur ou à la considération et que de ce fait cette 
imputation ne peut être considérée comme une diffamation.
En
 fait,  il s’agissait de l’imputation à un homme politique prénommé 
Patrick d’une liaison avec la douce ex compagne du président François 
Hollande.
Le lecteur se dira peut-être que justement… mais non.
Qu’il n’en tire pas pour autant la conclusion trop facile que l’adultère, c’est bien.
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