Je serai jupitérien a dit le président Macron…
Richard Ferrand est directeur général d’une
mutuelle.
Celle-ci souhaite louer un local et choisit celui de
la compagne de son salarié dont elle n’est pas encore propriétaire mais le
deviendra avec en main la certitude de ce bail qui lui permettra d’emprunter l’intégralité
du prix d’acquisition.
La Mutuelle a donc loué un bien à la compagne de son
dirigeant qui n’était pas encore propriétaire.
Elle va, ensuite le rénover intégralement
Légal, oui, mais léger.
Pas d’argent public, mais comme un conflit d’intérêts.
Et comment donc l’information a-t-elle été transmise, sinon
par Monsieur Ferrand ?
Peu éthique cet
enrichissement personnel, car c'est un couple qui est concerné.
François Bayrou prépare une loi sur la moralisation
de la vie publique.
Il la faut impitoyable, sans faux-fuyants.
Suppression de la réserve parlementaire, et tout, et
tout.
C’est à ce prix qu’elle sera crédible.
Quant à enrichi Ferrand, même si la légalité a été
respectée, il devient un boulet car chacun comprend que la vertu aurait
interdit cette opération immobilière.
Et là, Jupiter Macron a un souci…
Et, pourtant il s'agit bien là d'une opération banale dans les affaires, la seule chose à vérifier étant que du côté de la Mutuelle on ai bien suivi la procédure dite des conventions règlementées !
RépondreSupprimer