La haine, c’est un sentiment, un ressenti ; un sentiment
de répulsion, de rejet.
C’est elle qui fonde le meurtre que la justice
sanctionne, aux lieu et place de la vengeance toute aussi haineuse.
Un groupe ne peut vivre que par l’amour, l’attirance
envers l’autre pour forger les règles de la cité.
La haine ne peut pas fonder une vie commune en
société.
Dans les campagnes électorales françaises, il y eût
de la violence verbale, des débats des excès.
Mais la haine ne dominait pas.
Ce qui créé aujourd’hui le malaise, c’est qu’elle
parait être gagnante.
Peu importe que l’on soit de droite, de gauche, que
l’on vote LR, EM ou FN, ce qui compte c’est le combat. des idées mais le
respect des hommes, des citoyens.
Quand apparait la haine de l’étranger, mais aussi du
riche, du banquier, c’est autre chose qui transparait : la haine de l’homme,
la violence réelle, celle qui retourne
au meurtre.
Alors, non ; tout n’est pas égal.
L’amour et la haine, comme la vie et la mort.
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