Il
est loin le temps du laboureur, du patron industrieux; du solide, du
tangible.
C'est
le temps du virtuel, du financier, des bulles.
Vous
savez,, cependant, ces bulles de savon qui éclatent, laissant peut-être une
vague trace d'humidité.
Les
études sont devenues une bulle; des études de plus en plus chères,
des écoles en réseau cascade selon le rang de sortie obligeant les
familles à traverser le pays et générant l'endettement.
Pour
quel bénéfice réel? La chose n'est pas évidente.
Soyons
clairs: le coût des école de commerce est surévalué, celui
d'autres écoles aussi.
Le
système craque.
Donc, cependant,
l'Insead organise un stage de 4 semaines pour 35.000 € afin de
mettre en lumière le processus de prise de décision et
démontrer qu'exercer un jugement n'est ni un art ni une science,
mais un artisanat qui peut être affiné par la pratique, la
réflexion, le retour sur expérience et le coaching.
Un
peu bla-bla, non ?
J'avoue
ici éprouver comme un doute sur l'information, au moins sur la durée
et le coût
Ce
stage, en tous cas, s'adresse à des salariés confirmés dans leur
entreprise et Nono Montebourg, de formation d'avocat et politique veut lesuivre pour apprendre à devenir haut dirigeant.
En
quatre semaines?
Et pour
cela, il demande... une bourse.
Bulle,
je vous dis; comme l'art moderne, mais c'est un autre débat.
Bulle
puante.
C'est
cette impression de légèreté qui débecte grandement le citoyen.
Devenez
haut dirigeant d'entreprise en quatre semaines puisque vous payez
pense donc le politique?
Comme
ces gens-là sont légers.
Comme
c'est indécent!
Comme
la colère monte...au bourg.
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