L’Orient.
Proche, moyen ou
extrême, mais quoi qu’il en soit compliqué.
Indéchiffrable,
peut-être.
L’Occident s’y meut
lourdement et y fait des dégâts.
Sur la Syrie, le
Président Obama avait parlé de ligne rouge à ne pas franchir : les
attaques à l’arme chimique.
Barils de chlore et
autre.
Et le gaz sarin.
« Le gaz sarin est
un puissant neurotoxique mortel, inodore et invisible, découvert en 1938 en
Allemagne. Même s'il n'est pas inhalé, le simple contact avec la peau de ce gaz
organophosphoré bloque la transmission de l'influx nerveux et entraîne la mort par
arrêt cardio-respiratoire. La dose létale est d'un demi-milligramme pour un
adulte. Les victimes se plaignent d'abord de maux de tête violents et
présentent des pupilles dilatées. Surviennent ensuite convulsions, arrêts
respiratoires et coma précédant la mort. » (l’express)
L’arme chimique, c’est l’arme du pauvre, des armées exsangues.
Interdite par les conventions internationales.
Ligne rouge, mais jamais respectée si pas de punition.
Qui élève des enfants même le sait.
Il n’y a pas contradiction à dire qu’un dictateur ne doit pas être
renversé à l’aveuglette laissant derrière lui quelque chose de pire.
L’Irak et la Libye nous l’ont appris.
Merci, Messieurs Bush et Sarkozy.
Il n’y a pas, donc, contradiction à cela et, en même temps à montrer que
si la ligne route est franchi, alors le ticket n’est plus valable.
Au-delà des tous ses défauts, c’est cela que Monsieur Trump a rappelé
et, en l’espèce, il a probablement raison.
Rappelons-nous ces mots de Mitterrand : les manifestants sont à l’ouest
et les missiles à l’est, ou quelque chose d’approchant.
Les mots de condamnation ne suffisent pas, il faut parfois engager le
bras de fer.
Rappeler la ligne rouge, difficile à retrouver, tant la terre syrienne
est rouge du sang des innocents.
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