On
devine bien que jamais la Russie ne rendra la Crimée, mais l'Europe
la sanctionne, encore et encore, devant la situation ukrainienne,
complexe, en liant les sanctions à la Crimée ; de telle sorte qu'un
accord ne puisse pas intervenir.
On
sait bien que jamais la Grèce ne pourra rembourser sa dette et que
celle-ci est née de son impéritie, oui, mais aussi des erreurs de
ceux qui l'ont intégrée dans la zone euro et ont conçu une
politique d'austérité conduisant à un taux de chômage de 51 % des
jeunes.
Comme
si l'Europe était la voix du complexe militaro-industriel américain,
comme si la démocratie devait s'effacer devant la technocratie
financière que la notion de dévaluation interne met en érection,
comme une courbe ascendante de chômage.
Il
ne pourra pas du passé faire table rase et les lendemains grecs
déchanteront probablement mais voyez-vous cette Europe des peuples
est plus sympathique que celle de Monsieur Moscovici.
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