Dans l'usage qu'on fait des principes par lesquels on se guide, il faut
ressembler à l'athlète exercé à tous les genres de luttes plutôt qu'au
gladiateur, qui ne connaît qu'une seule manière de combattre. Le
gladiateur, une fois qu'il a perdu le glaive qu'il tient, n'a plus qu'à
mourir, tandis que l'athlète du Pancrace a toujours ses mains à sa
disposition, et il n'a qu'à les manoeuvrer énergiquement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire