« L'attribution d'indemnités journalières à l'assuré se
trouvant dans l'incapacité physique de continuer ou de reprendre le travail est
subordonnée à l'obligation pour le bénéficiaire de s'abstenir de toute activité
non autorisée et, d'autre part, que les heures de délégation sont de plein
droit considérées comme temps de travail ; qu'il s'ensuit que l'exercice de son
activité de représentation par le représentant du personnel ou d'un syndicat,
dont le mandat n'est pas suspendu, ne peut ouvrir droit à indemnisation que
s'il a été préalablement autorisé par le médecin traitant. »
Deux déléguées syndicales avaient demandé le paiement
de 90 et 150 heures prises pendant des arrêts
de travail
Le Conseil des prud’hommes avait dit oui
La Cour de cassation demande plus : l’autorisation de
médecin traitant
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