Quoi, nous voilà donc attaqués de toutes parts, encerclés, canonnés, vilipendés , écoutés, chassés par les députés.
Nous voilà toujours plus nombreux, mais mal armés et mal commandés par ces généraux imbus d'eux-mêmes n'ayant aucun égard pour la piétaille de l'avocature se mourant dans les fossés de la crise.
Devant nous les bataillons mignons de riches notaires crachant leur venin, mais oh combien efficaces!
Et les homme du chiffre qui savent, eux, déchiffrer ce monde économique où la guerre est faite d'ombres.
Et nous subissons ces attaques constantes, fiers comme Artaban, de nos mots, comme de nos poitrines nues.
Armée mexicaine bien loin de Valmy espérant de ses voeux un petit caporal qui saurait chasser ces généraux enrubannées ivres du parfum de leur contentement.
Ceux-là qui de communiqué viril en communiqué viril nous lassent et pour tout dire nous les brisent en cette journée de la femme même !
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