C'est l'histoire d'une mise en eau.
Un
appartement était régulièrement inondé et des travaux d'étanchéité
avaient été réalisés sur le terrasse de l'appartement de l'étage
supérieur.
Pour
savoir s'ils avaient été efficace l'expert a mis en eau, c'est-à-dire a
rempli la terrasse d'eau en bouchant les évacuations, sans cependant que
les relevés d'étanchéités ne soient dépassés.
Mais l'eau a coulé, nuitamment.
L'habitant de l'étage inférieur a pris une douche nocturne et gratuite
Mise en cause judiciaire de l'étancheur suspecté d'avoir réalisé une piteuse étanchéité.
Plein de doutes, met en eau à nouveau.
Et rien ne passe.
Aucune goutte, aucune.
Quel est donc ce mystère ?
C'est
que la brave copropriétaire de la terrasse, lors de la première mise en
eau dont elle avait le contrôle (Hum, Monsieur l'expert) a omis
d'arrêter à temps et que l'eau a dépassé ce qu'elle ne devait pas
dépasser.
Elle avait dit l'inverse la coquine, d'où mise en cause d'un innocent.
Mais faute avouée n'est-elle pas à moitié pardonné?
Pas en matière de procès civil, en tout cas.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire