Je fais là, une petite pause.
Ma douce, quand elle pause, s'en va fumer une clope.
Moi qui ne fume pas, laisse mon esprit s'envoler dans les vapeurs éthérées d'un surmenage potentiel.
J'ai déjà dit que l'article 6-1 de la loi du 6 juillet 1989 faisait obligation aux bailleurs, après mise en demeure "dument" motivée, d'utiliser les droits dont ils disposent en propre afin de faire cesser le trouble de voisinage causé à des tiers par les personnes qui occupent les locaux dont ils sont propriétaires.
Une lettre adressée à un propriétaire de ma clientèle:
« Je vous ai informé du fait que le sang allait couler et que vos locataires pourrissaient la vie de tous les occupants de l'immeuble ...
Une violente agression est intervenue…
Menacé de mort Monsieur Botul est resté réfugié à l'intérieur de son domicile…
Sa propre porte d'entrée a été une nouvelle fois gravement endommagée, ces quatre voyous ayant tenté de la défoncer… »
Cela semble justifier une action en résiliation de bail,
Excusez-moi, Mme Duflot vient de me téléphoner, pour me dire que j'imagine et que les locataires sont toujours des gens à protéger contre les vilains propriétaires.
Je crois que je vais aller me faire un thé.
A toute ALUR!
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